Cet avatar turc de 1952 a beau s'appeler "Tarzan à Istanbul", le roi de la jungle n'y mettra les pieds qu'à la toute fin du film. L'abus de stock-shots a souvent de quoi faire rire mais, tout naïf que soit le spectacle, on est bien loin des délires d'un "Tarzan Korkusuz Adam".