Inspiré par l’architecture monumentale du Palais de Tokyo, le film d’Ange Leccia en démultiplie les effets lumineux en jouant avec la surface réfléchissante d’un immense miroir : l’artiste Michelangelo Pistoletto est au cœur de ce dispositif d’ombres et de diffractions, scandé par les apparitions d’une jeune femme et des images d’archives du Palais de Tokyo de 1930 à nos jours.