Ici, volonté est faite d'établir un parallèle entre la fonction de président de la République, occupée à l'époque par Mittérand, et Dieu. Se pose alors la question de la relation entre l'homme à la tête de l'Etat et la presse, faite de séduction et de critiques, notamment lorsque celle-ci souligne l'omnipotence du président.