Le franc est au plus bas face aux devises étrangères. Mais Raymond Poincaré, rappelé au pouvoir, redresse la situation en rétablissant la confiance, ce qui n’est pas du goût des spéculateurs. Après avoir passé la douane française, un automobiliste allant en Suisse à un accident avec sa voiture : il est mort d'un crise cardiaque. Un des douaniers trouve sous sa voiture une mallette pleine de livre sterling. La victime, Vergnol, serait selon Metzinger, un riche banquier pour qui il travaillait, un employé malhonnête qui l’aurait escroqué. Mme Vergnol vient voir Valentin. Poincaré demande, en personne, à Gabrielli de fait échouer les plans des spéculateurs. Metzinger, après avoir éloigné Mme Vergnol, discute avec d’autres spéculateurs. Ils cherchent le moyen de renverser la situation. Ils pensent à faire découvrir Poincaré dans une situation compromettante. Ils font appel à Durbeck, un homme qui navigue dans le Milieu et les milieux ultra-nationalistes. Le leader d’un des groupes d'ultra-nationalistes refuse d'y participer. Durbeck se tourne alors vers la pègre. Terrasson, sous l’identité d’un ex-légionnaire, se fait recruter par elle. Il arrive, avec les autres, à leur « cantonnement ». Pujol, en avion, l’a suivi. Le milieu ultra-nationaliste pense à profiter du complot pour faire un coup d’État. En même temps que l’entrainement en vue d’un enlèvement a lieu, les tractations de Durbeck et des ultras continuent. Durbeck annonce des changements au plan originel à Metzinger sans lui dire que l’assassinat de Poincaré est décidé. L’assassin, Molnar, arrive de Hongrie…