Dormir depuis des années dans un fauteuil pour ne pas quitter des yeux la porte d'entrée, fouiller les moindres recoins de la maison pour trouver des traces de poudre blanche, prendre son fils en filature dans les boîtes branchées du coin, vivre toute l'année dans la suspicion et l'angoisse, craindre à chaque instant d'apprendre une nouvelle fatale, c'est le lot de ces mères de toxicomanes. Visite à Genk.