Après le retrait de l’armée d’Uriyan’edei, les survivants de Tsushima se laissent aller à un optimisme bien compréhensible, excepté certains compagnons d’armes de Jinzaburô qui trouvent plus à propos de s’enfuir. Et ils n’ont peut-être pas tort, car, comme l’avait remarqué Jinzaburô, l’armée mongole est une hydre à plusieurs têtes qu’il est impossible de vaincre d’un seul coup…