Fouché en disgrâce, Maxime doit fuir pour éviter que le courroux de Napoléon ne retombe sur lui. A Angoulême, pendant ce temps, l'innocente Odile commence à se rendre compte des sentiments que se portent son fiancé et sa soeur. Elle exige d'aller à Paris, pour rejoindre d'Aurillac et rester à ses côtés dans l'épreuve. Charles Duruy et Clarisse cèdent, et tout le monde se retrouve chez la bonne Madame de Croissy. Maurice, bien sûr, participe aux efforts entrepris pour tirer Maxime d'affaire. Charles Duruy lui-même va intercéder pour d'Aurillac auprès de Cambacérès, qu'il connut farouche conventionnel...